Ces ouvrages furent longtemps conservés à la bibliothèque nationale de Paris dans la section Chine. Ce n'est qu'à partir de 1978, qu'un historien coréen habitant à Paris à découvert ces documents. La Corée a alors demandé plusieurs fois à la France de lui restituer ces archives, ceci se soldant systématiquement par un échec. Dans les années 90, la France a proposé uniquement une solution de prêt alors que la Corée demandait une restitution. En 1993, lors de la vente du TGV à la Corée, François Mitterrand s'était engagé à rendre 297 volumes. Au final, 1 seul volume sera remis au gouvernement coréen sous forme de prêt à durée indéterminé. La France a alors numérisé tous les ouvrages et a envoyé une copie numérique à la Corée.
Dernièrement, un tribunal français a annoncé que ces ouvrages étaient devenus biens publics et ceci peut importe leur méthode d'acquisition et que le pillage n'était pas interdit au 19ème siècle.